L’empreinte de toute chose, d’Elisabeth Gilbert
Je viens de débuter le dernier opus d’Elisabeth Gilbert « L’empreinte de toute chose », et déjà, dès la trentième page (sur 623 tout de même !), je suis conquis, et la hâte de reprendre sa lecture devient pressante.
L’héroïne ici, c’est Alma. Elle naît en 1800, à Philadelphie, d’un père anglais et botaniste reconnu (et roublard) et d’une mère hollandaise incroyablement érudite, mais avec toute la rigueur de son pays.
C’est donc une histoire extraordinaire que celle d’Alma, passionnée d’horticulture et de botanique. Et cette passion la poussera à partir à la découverte du vaste monde.
L’empreinte de toute chose, d’Elisabeth Gilbert, éditions Calmann-Lévy, janvier 2014
25 février, je viens de terminer la lecture de ce livre : je vous invite fortement à le lire, c'est une remarquable histoire de femme de science, fort bien documenté, d'une fine intelligence et de grand savoir. Un ouvrage dont on ne peut faire l'impasse !
Sois assurée, chère amie, que bien des grands et remarquables arts et sciences ont été découverts grâce à la subtilité et à l’intelligence des femmes en matière de spéculation ainsi que démontré par leurs écrits dans les arts et manifesté dans les ouvrages de travaux manuels. Je t’en donnerai abondance d’exemples. Christine de Pizan, La Cité de Dames, 1405