La Suisse se place à la pointe de la biométrie
La start-up Global ID, issue d’un partenariat notamment entre l’EPFL et l’Idiap, a présenté vendredi sa solution d’identification basée sur l’empreinte veineuse. A Martigny, la société Biowatch développe une technologie similaire liée à des bracelets.
Il y eut les mots de passe, la double authentification associée à un SMS, la reconnaissance d’empreintes digitales, celle de l’iris et enfin la reconnaissance faciale. Une nouvelle technologie tente de percer pour sécuriser les transactions: la reconnaissance par l’empreinte veineuse. Vendredi, la société Global ID présentait ses avancées à l’EPFL. La start-up Biowatch, basée à Martigny, travaille sur une technologie similaire.
Pour Lambert Sonna, directeur de Global ID, les systèmes actuels ont des limites: «La reconnaissance facile a pu être prise en défaut et la reconnaissance par empreintes digitales ne fonctionne pas lorsque le doigt est mouillé, par exemple. C’est pour cela que nous avons exploré un système basé sur les veines, qui sont uniques pour chacun.» La société, basée au Parc de l’innovation de l’EPFL, a ainsi développé un lecteur capable de reconstituer en trois dimensions le plan veineux d’un doigt après qu’il a été placé sous une source lumineuse... En savoir plus
NB : Mais où sont-ils prêts à aller ?