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Vivons nos temps
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21 octobre 2013

Parce que j'aime bien mes semblables... quelques bonnes vérités...

« L’un des moyens de faire régner l’ordre dans les rangs est de s’assurer la maîtrise des définitions, de faire la police des idées, ce qui signifie, pour les dirigeants, être capable de formuler et de diffuser la vision de la réalité – locale et globale – qui sert leurs intérêts », Herbert Schiller, professeur de communication, Université de Californie, San Diego, USA

« La mondialisation n’est pas un concept sérieux. Nous l’avons inventé pour faire accepter notre volonté d’exploiter les pays placés dans notre zone d’influence… », John Kenneth Galbraith, cité dans « Big Business, Poor Peoples », par John Madeley, Zeb Books.

« Plus un mensonge est gros, plus il passe ! » « La propagande cesse d’être efficace dès l’instant où sa présence devient visible », Joseph Goebbels.

« A la tête d’une organisation internationale, il faut toujours nommer un Français. Au moins on est sûr qu’il ne défendra pas les intérêts de son pays », Sir Christopher Soames, diplomate britannique (rapporté par Denis Griesmar, vice-président des la société des traducteurs de France à propos de la bataille linguistique opposant la France au bureau européen des brevets).

« Le plus haut degré de tyrannie dans une société n’est pas l’exercice du pouvoir par les armes. Il réside dans la manipulation psychologique de la conscience, qui débouche sur le fait que la réalité est définie de telle façon que ceux qui la vivent ne se rendent même pas compte qu’ils sont dans une prison », Claude Rifat El Sayed, chercheur en neuropsychiatrie à Tokyo.

Si tous les Etats devaient parler la même langue, penser de la même manière, agir de la même façon, le risque serait grand de voir s’instaurer un système totalitaire à l’échelle internationale, tant il est vrai qu’à travers les termes employés, c’est une culture, un mode de pensée et, finalement, une vision du monde qui s’exprime », Boutros Boutros Ghali, ex secrétaire général des Nations Unies.

« C’est la continuité d’une activité de recherche scientifique fondamentale, non orientée vers le profit immédiat et non contrôlée par le marché, qui est désormais en question », Jean-Marc Lévy-Leblond dans « La pierre de touche ».

« Comme ce sont les mots qui conservent les idées et les transmettent, il en résulte qu’on ne peut perfectionner le langage sans perfectionner la science, ni la science sans le langage », Etienne Bonnot, abbé de Condillac dans son dictionnaire des synonymes, 1760.

« Si vous avez pleine emprise sur votre esprit, vous ne pourrez jamais être manipulé par celui des autres », citation anonyme empruntée d’un calendrier d’entreprise aux Etats-Unis.

« L’erreur ne devient pas vérité parce qu’elle se répand », Yôel Desseigne, technicien, université de technologie de Belfort-Montbéliard.

« Si tu te fais ver de terre, ne te surprend pas si l’on t’écrase avec le pied », Kant.

« Le langage est le premier véhicule du pouvoir », Ignacio Ramonet, directeur de publication, Le Monde Diplomatique.

« Le monde se divise en trois catégories de gens : un très petit nombre qui fait se produire les évènements, un groupe un peu plus important qui veille à leur exécution et les regarde s’accomplir et, enfin, une vaste majorité qui ne sait jamais ce qui s’est produit en réalité », Nicholas Murray, membre du Council on Foreign Relations américain.

« En politique rien n’arrive par hasard. Chaque fois qu’un évènement survient, on peut être certain qu’il avait été prévu pour se dérouler ainsi, bien sûr ! », Franklin D. Roosevelt.

« Nous interdisons de comprendre et donc de traiter les maux que nous prétendons attaquer », Jean-François Revel dans « La connaissance inutile », éditions Grasset, 1988.

« La désinformation la plus profonde est celle qui porte sur la langue, celle qui à coups de mots-repoussoirs tels « fascistes », réactionnaires », « racistes », « ringards », tente de nous empêcher tout simplement de nous exprimer, ou qui à coups de mots sésame-ouvre-toi, tels que « tolérance », Europe », « mondialisation », réussit à imposer aux opinions hypnotisées la pire des politiques ! », Vladimir Volkoff, lors d’un entretien avec Raphaël Dargent, fondateur de l’association « Jeune France ». 

« Ne pas céder parce que l’avenir dure longtemps », de Gaulle, cité par Max Gallo dans son ouvrage « De Gaulle ». 

« On ne paie jamais trop cher d’être son propre maître », Rudyard Kipling.

« Devenant familier, un dogme devient automatiquement juste. Des idées qui, pour une génération, sont des nouveautés douteuses deviennent pour la suivante des vérités absolues, qu’il est criminel de nier et qu’on a le devoir de soutenir », Aldous Huxley dans « Le plus sot animal », 1945.

 

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