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Vivons nos temps
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12 septembre 2012

Aleph

 alephTenez, je suis en train de lire le dernier opus de Paulo Coelho « Aleph ». Et comme pour ses précédents ouvrages, je prends beaucoup de plaisir à découvrir celui-ci. D’ailleurs, je vous livre ici un passage loin d’être inintéressant :

« Ce que tu dois te demander, c’est où chacun se trouve maintenant. Nous avons l’habitude de mesurer le temps comme nous mesurons la distance entre Moscou et Vladivostok. Mais ce n’est pas ça. Le temps ne bouge pas et il n’est pas non plus arrêté. Le temps change. Nous occupons un point dans cette perpétuelle mutation, notre Aleph. L’idée que le temps passe est importante au moment de savoir à quelle heure le train va partir, mais à part cela, elle ne sert pas à grand chose. Pas même à cuisiner. Chaque fois que nous répétons une recette, elle est différente ».

Ce paragraphe interpelle sur notre place dans tout ce qui nous entoure, sur notre rapport avec l’autre, avec soi. Mais l’éternelle question sur le temps reste posée, existe-t-il ou pas ? Et nous dans tout cela ? Si vous avez des suggestions, je suis preneur. Merci d’avance.

Aleph, de Paulo Coelho, Flammarion 2011

Aleph est la première lettre de l’alphabet hébreu, mais ici signifie un espace cosmique. Voici ce qu’en disait Jorge Luis Borges : « Le diamètre de l’Aleph devait être de deux ou trois centimètres, mais l’espace cosmique était là, sans diminution de volume. Chaque chose… équivalait à une infinité de choses, parce que je la voyais clairement, de tous les points de l’univers ».

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