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30 août 2019

Nicolas Noz, le chocolatier-confiseur qui aime se faire conteur

choco Il est l’un des meilleurs chocolatiers confiseurs de Lausanne, mais n’a pas le profil type de l’artisan-commerçant. Il aime la douceur et les contes. Les lire, les dire et les écrire. Portrait d’un poète gourmand.

Un artisan-commerçant est forcément autoritaire et remuant? C’est que vous n’avez pas encore rencontré Nicolas Noz, célèbre chocolatier lausannois, installé à la rue Marterey avec son épouse Anne-Lise depuis vingt-cinq ans. Ce confiseur plusieurs fois primé est sensible, discret et convaincu qu’on peut mener une douzaine d’employés avec le plaisir comme moteur. Ses univers de prédilection? Les douceurs du palais, bien sûr, qu’il ne cesse de renouveler, mais aussi les contes, qu’il lit depuis toujours et, depuis peu, écrit. A l’image de ce «Bonhomme Chocolat», joli récit retraçant comment une princesse concocte son prince idéal à base d’amandes de Toscane, d’eau de fleurs d’oranger et de chocolat de Grenade. Délicieux. Et parfait pour cette période de l’Avent. Nicolas Noz porte un prénom de Saint qui le prédestinait à embellir la vie des gens.

La chocolaterie Noz, une institution

La chocolaterie Noz à Lausanne est une institution. Connue pour la finesse de ses préparations et l’originalité de ses spécialités. Le Prunoz, par exemple, un pruneau séché fourré d’une ganache à l’eau-de-vie et roulé dans du chocolat. Ou les Cigarinoz, des cigares en chocolat parfumés au whisky pur malt et au thé fumé de Chine, sur la boîte desquels on peut lire «Manger du chocolat nuit gravement au stress». La maison marque aussi les esprits avec ses grands crus de cacao qui viennent de destinations fines telles le Costa Rica, le Venezuela – ah, les truffes au Maracaibo! - ou l’Indonésie. Des saveurs et des textures qui charrient des mondes et parlent d’elles-mêmes. Pour en déguster plus

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