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23 février 2017

Oubliez Olympe de Gouges, les sorcières sont les premières féministes ! Un dossier des Glorieuses

illustration-sorciere On pense à Adèle la sorcière, Jeanne d’Arc, Agnes Sampson… Mais dans la culture populaire, leur gloire, arrive bien plus tard. Avec « Ma sorcière bien aimée ». L’apparition de la sorcellerie dans la culture populaire coïncide avec la publication de « La femme mystifiée» (« The Feminine Mystique ») de Betty Friedan en 1957. Cet ouvrage a révolutionné l’image de la génération de femmes au foyer aux Etats-Unis. Non, elles ne se complaisent pas dans les tâches domestiques. Oui, elles sont frustrées.

Mais leur avenir est radieux : « Qui sait de quoi seront capables les femmes, une fois libres de devenir elles-mêmes ? Qui sait ce que pourra l’intelligence féminine quand elle n’aura plus à refuser l’amour s’épanouir ? Qui peut prévoir ce qu’apportera l’amour quand hommes et femmes auront en commun quelque chose de plus que des enfants, un foyer, un jardin, quelque chose que l’accomplissement de leur rôle biologique ? Ils partageront alors les responsabilités et les enthousiasmes de ceux qui oeuvrent pour façonner l’avenir de l’humanité, pour parvenir à se connaître vraiment pour ce qu’ils sont. Elle n’en est qu’à ses débuts, cette quête de la femme. Mais les temps sont proches où les voix de la mystique féminine se tairont devant cette voix intérieure qui guide la femme vers l’accomplissement de soi ». (Traduction de Yvette Roudy, Editions Gonthier, 1964)... En voir plus

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