27 avril 2016
Le bon mot pour aimer juste
Gabriel Sénac de Meilhan (18ème s.), émigré pour fuir la Terreur révolutionnaire, à propos de l'emploi du verbe aimer terriblement affaibli par des siècles d'usage: « Ah, qu'elle est pauvre pour les cœurs, cette langue (française) si élégante ! Toujours aimer, pour tout ! On aime sa maîtresse et son ami, la chasse, le vin ; quelle profanation d'un mot sublime... »
Cela a-t-il changé de nos jours ?
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