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Vivons nos temps
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29 septembre 2014

Répliques cinglantes...

Robert Surcouf, célèbre corsaire Malouin, répondait à un amiral britannique qui prétendait ceci : " Vous les Français vous vous battez pour l'argent, nous Anglais, nous nousbattons pour l'honneur !!!" Et Robert Surcouf de répondre : "Monsieur, chacun se bat pour ce qu'il n'a pas !!!"  

Lors d'un échange entre les deux rivaux politiques du 18ème siècle, John Montagu, Comte de Sandwich, et le réformiste John Wilkes. Montagu dit à Wilkes : « Monsieur, je ne sais pas si vous mourrez sur l'échafaud ou de la syphilis. Réplique  de Wilkes :  « Cela dépend, monsieur si j'embrasse vos principes  ou votre maîtresse

Lady Astor apostropha un jour Winston Churchill :« Monsieur Churchill, vous êtes ivre ! »       

Réplique de Churchill :  « Et vous, Madame, vous êtes laide... Mais moi, demain, je serai sobre ! »

Churchill fit un jour la remarque suivante à son George Bernard Shaw (alors très maigre contrairement à ce premier de forte corpulence) :  « À vous voir, tout le monde pourrait penser que la famine règne en Angleterre. » Réplique de Shaw : « À vous voir, tout le monde pourrait penser que c'est vous qui en êtes la cause »

Je ne sais plus quel animateur de télé pose cette question fondamentale  à Michel Blanc :  « Être chauve, est-ce un handicap ? »

« Je suis chauve, mais j'ai une queue de cheval !»

Anna Tyskiewicz, future comtesse Potocka, cachait avec soin un strabisme divergent. Mais Talleyrand, le plus célèbre pied-bot de l'Histoire, connaissait cette infirmité. Un jour, elle s'avisa de lui demander : 

- Comment allez-vous, Prince ?

- Comme vous voyez, madame, répondit Talleyrand.

Monsieur de Rivarol, combien d’années me donnez-vous ? » demandait une vieille coquette à l’homme célèbre. 

-«Pourquoi vous en donnerais-je Madame ? N’en avez-vous donc pas assez ?"

A la fin d'un dîner organisé par Winston Churchill, le maître d’hôtel du héros de la guerre présente la cave à cigares aux invités. L’un d’entre eux, sans le moindre scrupule, en prend cinq,  les met dans sa poche et déclare :

  "C’est pour la route. »  

« Merci d’être venu d’aussi loin, lui lance Churchill.

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